ON PARLE DE NOUS
Les médias parlent également d'ADHI
Nos actions ont plus amplement été développées dans le cadre d'un article rédigé par la journaliste, Madame Tatiana SALVAN, ayant fait la Une du journal Le Quotidien en date du 14 janvier 2023
«Ces condamnations et ces exécutions sommaires suscitent un tollé international et ont poussé de nombreux parlementaires européens, à l’appel de collectifs de défense, à parrainer un condamné à mort afin de braquer les projecteurs sur les autorités iraniennes et tenter d’accentuer la pression sur le régime ultrarépressif d’Ali Khamenei, le guide suprême iranien. [...]
Au Grand-Duché, vingt députés se sont engagés en ce sens. Nathalie Oberweis (déi Lénk) est de ceux-là, qui marraine Mahsa Mohammadi, une jeune étudiante en microbiologie, kidnappée par les autorités iraniennes et condamnée à la peine de mort pour avoir insulté le Prophète sur Twitter. «C’était une évidence de participer à cette action. Ces personnes sont dos au mur. C’est à tous les autres, ceux qui en ont les moyens et les outils, de s’engager pour eux», explique la députée. [...]
Les artistes aussi se mobilisent
Afin de braquer davantage encore les projecteurs sur la situation en Iran, l’ADHI appelle également la sphère artistique luxembourgeoise à se mobiliser. Elle a lancé à ce dessein l’initiative «Un artiste, un condamné», visible sur Facebook et Instagram (@unartisteuncondamne»). Les artistes du pays sont invités à dédier une performance (monologue, chanson, création audiovisuelle) à une personne emprisonnée par le gouvernement iranien. À l’instar de l’actrice luxembourgeoise Eugénie Anselin, qui a récemment posté une vidéo dans laquelle elle dédie le poème Le Globe de Nazim Hikmet au jeune Arian Farzam Nia, 16 ans à peine et condamné à mort pour avoir manifesté. »
Concernant plus précisément la situation actuelle iranienne, vous retrouverez cet article publié par le même journal :
« [...] La condamnation à la peine capitale et les exécutions publiques visent clairement à instiller la peur au sein de la population afin de la contraindre à se résigner et à cesser les mouvements de contestation. Un objectif qui n’a pas été atteint, assure Ardavan Fatholahzadeh, de l’ADHI : «Les gens réagissent à ces exécutions, ils se réunissent sur la tombe des exécutés de manière pacifique et vont y déposer des fleurs. Tous les soirs, il y a des manifestations à Téhéran et dans les très grandes villes du pays ainsi que dans les universités. Ces exécutions n’empêchent en rien les manifestations, car les jeunes se disent « on n’a rien à perdre »». »
Enfin, à l'aube de notre initiative de parrainage politique, notre responsable de communication, Anna, a donné une interview à 100,7 en décembre 2022 pour parler de l’importance du soutien des député(e)s luxembourgeois.
Puis, sur l'engagement des député(e)s luxembourgeois(es) pour des prisonniers politiques iraniens, RTL.lu avait publié cet article sur le soutien de la sphère politique luxembourgeois des droits humains en Iran.